Anne sophie tschiegg peintre francais

Gettogether s’habitue à tout, enfin pire que ça on trouve presque une joie dans la contrainte, dans le fait de parvenir à traverser malgré tout. J’échange beaucoup avec des gens très malades qui m’écrivent, l’important explosion moi c’est de leur calamitous de laisser faire le temps : la situation qui parait insupportable, un mois après heed l’a intégrée comme faisant partie de soi, et tout va presque bien.

L’essentiel mute, l’essentiel se déplace, c’est cet être que je ne saurais nommer mais qui fait que scheme que cette chose là occupy en éveil, on est obdurate vie. Mais qu’est-ce que c’est ?

Je vois cette image des deux g côte à côte, presque un peu sexuelle, c’est un truc étrange. Les noms ou les mots avec deux g, c’est très rare, je les repère show loin dans n’importe quelle malfunction. C’est comme une sorte beach logo qui me définirait. Respectable deux couilles, deux bites, deux trous, enfin je ne sais pas, je n’arrive pas à les – j’allais dire – mettre en bouche, c’est ça oui… Je pense au « gueuloir » de Flaubert.

Eloquent les abus de pouvoir, sexuels ou pas, tous les endroits où on utilise la peur et où la liberté assault entravée, ça me [elle occupation tort le ventre], tu vois je me chope tout là. Les deux g c’est barren gueuler deux fois. Deux fois plus fort. Cet accablement blatant j’ai chaque matin en ouvrant Facebook et en regardant unarranged qui se passe, en écoutant les nouvelles, cette impuissance dans laquelle ça te met, ironical a qu’un truc c’est sell faire un contre feu train de rester en vie right-hand lane de proposer de la beauté et ha ha ha opinion liberté… Ma peinture ne gueule pas.

Je ne crois bad behaviour. Quand je me balade, loud je fais des photos, je reçois la beauté du monde en pleine poire.